Depuis « le dîner de la discorde » du 26 avril entre l’équipe de négociation britannique et son homologue européenne, le doute s’est instillé chez tous les observateurs du processus du Brexit. La Première ministre britannique vit-elle dans « un univers parallèle », comme le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, l’aurait suggéré à la chancelière allemande Angela Merkel ? Bluffe-t-elle en jouant à l’imbécile ? Ou certains Bruxellois tentent-ils de la décrédibiliser ?
Brexit dur ou Brexit soft : que veut Theresa May ?
19 mai 2017 à 8h00