La présidente de la Commission européenne fignole le discours sur l’état de l’Union qu’elle doit prononcer, mercredi 15 septembre, devant les députés réunis à Strasbourg. Les mêmes qui, en juillet 2019, lui ont accordé leur confiance à une courte majorité (383 voix pour, 327 contre).
À l’époque, ce résultat avait été perçu comme un signe de défiance. Le Parlement aurait préféré que l’un des prétendants des partis politiques européens soit choisi pour présider l’exécutif. Mais Ursula von der Leyen (UVDL)…