Une fois encore, les importations d’uranium ont été épargnées. Alors que l’Union européenne vient d’adopter un nouveau paquet de sanctions contre la Russie, l’unanimité requise pour interdire ce combustible russe fait toujours défaut. La Hongrie, la France et quelques autres n’y sont pas favorables, craignant tous de déstabiliser leur filière nucléaire.
Pourtant, la question refait surface depuis que les États-Unis ont franchi le pas. En mai dernier, Washington a interdit les importations d’uranium enrichi russe à compter du 12 août…