Jusqu’ici, c’était un sans-faute. Pour sa négociation de la réforme du marché de l’électricité, le Parlement faisait figure d’exemple. L’équipe du rapporteur Nicolás González Casares (S&D) a tenu les délais en trouvant un large compromis informel huit jours ouvrés avant le vote. C’était la règle. En face, au Conseil, les États membres se perdent en interminables marchandages, échouant même par deux fois à s’accorder sur une position commune.
Mais à l’approche du vote en commission de l’énergie (Itre), des voix…