Le plan de relance français réserve une place majeure aux « secteurs les plus émetteurs de CO2 », a insisté la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, lors de sa présentation officielle, le 3 septembre. Car ce programme de 100 milliards d’euros – incluant des crédits déjà annoncés – a pour objectif, selon l’exécutif, d’amortir le choc de la crise sanitaire, mais aussi de « verdir » l’économie française. Les transports sont donc concernés au premier chef.
Onze milliards…