« J’adore le PLFSS, mais cette année il me déprime », soupirait Jérôme Guedj durant l’examen du texte en commission des Affaires sociales, le 19 octobre . Le député socialiste, rompu à l’exercice, déplore cette année la « manière dont on le débat » : le texte est devenu une « espèce de chambre d’enregistrement d’articles » issus des administrations, « dans lequel les parlementaires n’ont que très peu ou trop peu leur place ».
Un lobbyiste du secteur de…