Emmanuel Macron l’avait promis :
« Ce n’est pas le contribuable français qui paiera [le plan de relance], parce que nous nous sommes engagés à créer de nouvelles ressources propres. »
C’était il y a un an, quasiment jour pour jour, le 21 juillet 2020, au terme de quatre jours de négociation durant lesquels les chefs d’État de l’UE s’étaient mis d’accord sur un emprunt en commun de 750 milliards d’euros pour financer la relance du continent (relire notre article…