Contexte : Le 21 mars, à Bruxelles, se tenait le premier sommet mondial du nucléaire. Qu’en retenez-vous ? Est-ce plus qu’une « victoire symbolique » des partisans de l’atome ?
Luc Rémont : Je ne veux pas raisonner en termes de victoire ou de défaite. C’est une excellente nouvelle de voir un nombre significatif d’États qui se réunissent pour parler de stratégies électriques décarbonées et du besoin de production stable, pilotable. Ils ne sont pas arrivés avec une position idéologique…